D’ici fin 2023, 36 marques de cosmétiques ainsi que des grands groupes cosmétiques s’unissent pour venir former le consortium EcoBeautyScore. Ce dispositif va permettre de développer un système de notation et d’évaluation de l’impact environnemental en ce qui concerne les produits cosmétiques à l’échelle industrielle.
Les 36 membres incluent les groupes les plus connus comme par exemple : Beiersdorf, The Estée Lauder compagnies, Johnson & Johnson, L’Oréal groupe, LVMH, Procter&Gamble etc.
Depuis la naissance de l’application Yuka créé en 2017, les consommateurs veulent savoir ce qu’ils consomment aussi bien dans l’alimentaire que dans la cosmétique. Grâce à cette application, rien de plus simple pour vérifier ce qui compose nos achats et les grandes marques l’ont enfin compris.
Afin de surfer sur la vague des applications d’aide aux consommateurs, le consortium EcoBeautyScore a pour objectif de permettre aux consommateurs de choisir leur produit en répondant à leurs valeurs d’un monde plus durable.
Le système de notation et d’évaluation permettra, sur une échelle mondiale, d’aider les consommateurs en leur fournissant des informations claires et transparentes concernant leurs produits cosmétiques.
Une méthodologie scientifique commune permettra aux marques d’avoir le même système de notation à l’international.
D’après le site L’Oréal, 42% des consommateurs sont intéressés par l’achat de marques qui privilégient les pratiques circulaires et durables.
Nous pouvons nous interroger sur la fiabilité du scorage au vu de l’association de ces grands groupes qui font partie des plus puissants du monde.
Pas d’inquiétude, l’analyse et le système de notation seront traités par Quantis, qui est un cabinet de conseil en stratégie environnementale.
Comme le site de Quantis l’indique, le système de notation sera guidé par :
Une fois ces points analysés, des organismes indépendants vérifieront si les données sont exactes.
Pour l’Association Slow Cosmétique, l’outil développé par les acteurs de la cosmétique conventionnelle est un problème. L’association pense que le public n’a pas besoin d’un nouveau scoring sachant que les écolabels se suffisent à eux même.
Chez Matchy Matchy Communication, nous avons constaté que les consommateurs de cosmétiques sont de plus en plus en recherche de transparence que ce soit dans la composition de leurs produits ainsi que dans l’engagement des marques envers la société et son environnement
Aujourd’hui, les consommateurs attendent d’une marque qu’elle soit authentique, transparente, écoresponsable et de proximité. La relation entre acheteurs et vendeurs doit être fluide, l’acheteur se doit d’être écouté et souhaite une marque avec laquelle il peut partager ses valeurs.
Il est important de répondre aux attentes de vos clients en faisant transparaître via vos réseaux sociaux une communication authentique, fluide et engagée.
Lorsqu’on est une marque de cosmétiques et qui plus est, éco-responsable, il semble primordial de démontrer que les engagements que l’on défend, sont le point central et névralgique de notre entreprise.
Mais il est important de noter que CELA EST NORMAL d’en parler, car votre entreprise VIT ses engagements (contrairement à des marques qui tendent vers des actions responsables et engagées ponctuellement).
Concrètement cela se traduit par : montrer les coulisses de votre entreprise, montrer vos engagements en stories, parler régulièrement des labels si vous en avez … Et non, la journée de la Terre n’est pas un jour particulier pour faire une promotion sur vos produits 😉
De nos jours, les consommateurs souhaitent de la part des marques une communication authentique, fluide et engagé entre eux pour créer un lien de proximité. Ils veulent que la marque soit authentique pour pouvoir s’identifier à des valeurs communes. Ils souhaitent de la transparence pour avoir confiance et ils misent sur l’éco-responsabilité pour se rassurer sur l’impact positif de leur achat.
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